Insolite : Elle dit NON pour une fourchette à 2.000 fcfa imposée par la revendeuse et choisit ses mains pour manger son kom

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À Ouidah, une situation pour le moins insolite a enflammé les réseaux sociaux. Une cliente, souhaitant utiliser une fourchette pour savourer son kom, s’est vue demander un supplément de 2 000 FCFA par la vendeuse. Refusant de céder, elle a finalement opté pour une méthode traditionnelle : manger avec les mains. Cette anecdote, relayée par Africa Fox TV, illustre un choc culturel et des pratiques commerciales inattendues.

Un Dialogue Malentendu ?

Selon les témoins, l’échange aurait été compliqué par une barrière linguistique. La vendeuse s’étant exprimée en Fon, il est possible que la cliente n’ait pas saisi immédiatement l’information. Toutefois, son choix de laver les mains a mis fin à la discussion, tout en marquant un retour à une méthode plus traditionnelle.

La Réaction des Témoins : Entre Rires et Réflexion

Les commentaires des témoins et internautes varient entre amusement et analyse sociale. Certains soulignent que manger du côme avec une fourchette est peu commun, le plat étant conçu pour être dégusté à la main. D’autres critiquent la vendeuse pour avoir fixé un prix jugé exagéré, transformant une simple demande en une anecdote virale.

Une Leçon d’Adaptation et de Respect des Traditions

Au-delà de l’humour, cette histoire rappelle l’importance de comprendre les coutumes locales. À Ouidah, comme dans de nombreuses régions, manger avec les mains est non seulement une norme culturelle, mais aussi une expérience qui renforce le lien avec la gastronomie locale.

@celoush229 Combien de boules peuvent vous suffire ?? Moi 8 🌝 @ #benin #benintiktok🇧🇯 #fyp #virale #abonnetoi #recette #cuisine #dokounou #kom #come #god ♬ son original – La Béninoise 🇧🇯

Un Buzz qui Interpelle

Cette anecdote, qui continue de susciter des réactions, met en lumière des tensions entre modernité et traditions, mais aussi des pratiques commerciales qui étonnent. Que l’on opte pour la fourchette ou les mains, l’essentiel reste de savourer le côme et d’apprécier la richesse des cultures locales.

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