Lors de la CAN 2023 en Côte d’Ivoire, Adama Guira, milieu de terrain burkinabé, a été victime d’une blessure inexplicable lors d’un match de poule contre l’Algérie. Sans aucun contact avec un adversaire ou un coéquipier, le joueur s’est effondré, souffrant de douleurs à la cheville qui l’ont éloigné des terrains pendant cinq mois.
Selon ses propres mots, l’incident semble surnaturel : « Je courais tranquillement et j’entends un gros son derrière moi, comme si quelqu’un m’avait taclé par derrière. Mais quand je me retourne, il n’y avait personne. »
Des suspicions de sorcellerie en toile de fond
Le contexte particulier de la CAN, où certaines équipes évoquent souvent des pratiques mystiques, n’a pas échappé à Adama Guira. Le joueur a exprimé son incompréhension face à cette situation qui, pour lui, pourrait dépasser l’entendement. Ce type d’accusations, bien que non vérifiées, fait écho à des récits fréquents en Afrique lors de compétitions sportives majeures.
Une absence prolongée qui interpelle
Ce qui rend cette blessure encore plus troublante, c’est son impact : cinq mois d’absence pour un joueur clé des Étalons. L’ancien du RC Lens a confié avoir essayé de se relever, aidé par ses coéquipiers Blati Touré et Steeve Yago, mais la douleur l’a empêché de continuer.
Une mésaventure qui relance les débats
Cette histoire suscite des débats sur la frontière entre croyances culturelles et coïncidences médicales dans le sport. En attendant, Adama Guira se concentre sur sa récupération, mais son témoignage restera gravé dans les annales de cette CAN 2023.
Avec de telles intrigues, la CAN ne cesse de captiver les passionnés de football au-delà des terrains.