La Confédération Africaine de Football (CAF) a réagi fermement aux violences survenues lors du match de qualification à la CAN 2025 opposant la Libye au Bénin à Benghazi le 18 novembre dernier. Ces incidents regrettables ont conduit à des sanctions sportives et financières exemplaires.
Deux matchs à huis clos pour la Libye
Le Jury Disciplinaire de la CAF a jugé les débordements des supporters et officiels libyens comme une violation grave des règles de bonne conduite. En conséquence, la Libye devra disputer ses deux prochains matchs à domicile à huis clos. Cette décision vise à rétablir un environnement serein pour les compétitions et à dissuader toute forme de violence dans les stades.
Une amende de 50 000 dollars infligée
En plus de la sanction sportive, la Fédération libyenne de football s’est vue infliger une amende de 50 000 dollars américains (Soit environ 31 459 263,10 Franc CFA). Cette pénalité financière reflète la gravité des événements et envoie un message clair aux autres fédérations : la sécurité et le respect des règles sont une priorité.
Un rappel à l’ordre pour le football africain
Cette décision de la CAF marque un tournant. Elle rappelle que les fédérations nationales sont responsables de la sécurité et du bon déroulement des matchs organisés sur leur sol. Les supporters et officiels doivent se conformer aux valeurs de fair-play et de respect des règles.
Renforcer la sécurité et le fair-play
Au-delà des sanctions, cette affaire met en lumière l’urgence de renforcer les dispositifs de sécurité dans les stades africains. La sensibilisation des supporters aux valeurs du sport reste essentielle pour prévenir de tels incidents et garantir une compétition digne des attentes des amateurs de football.