Ce Noël, Marcelle Kouamé, mère du premier fils de l’artiste Éric Sekongo, a pris la parole sur les réseaux sociaux pour exprimer sa douleur. Dans un message rempli d’émotion, elle dénonce une situation qui l’empêche de vivre pleinement son rôle de mère.
“Joyeux Noël. Aujourd’hui, je vais faire preuve d’immaturité en demandant à mes proches de ne pas m’écrire en privé pour s’en mêler. Je suis privé de mon fils depuis longtemps.”
Un appel à la responsabilité et à l’équilibre familial
Marcelle Kouamé pointe du doigt la difficulté pour une mère d’être séparée de son enfant, en particulier pendant les moments symboliques comme les fêtes de fin d’année. Elle appelle les personnes impliquées dans la vie de son fils, notamment la nouvelle compagne d’Éric Sekongo, à faire preuve de sagesse et de compréhension :
“Mesdames, lorsque vous entrez dans la vie d’un homme qui a déjà des enfants, prenez le temps de le conseiller. Il faut avoir la sagesse de laisser l’enfant être avec sa mère, ses frères et sœurs, et de partager les vacances pour son équilibre.”
Ce message résonne comme un cri du cœur, soulignant l’importance des liens familiaux et du bien-être des enfants dans des situations de recomposition familiale.
Un silence brisé après des années de patience
Selon Marcelle Kouamé, cette sortie publique est le résultat d’une longue période de silence qu’elle a maintenue pour préserver l’image et la carrière d’Éric Sekongo. Cependant, elle affirme que sa patience a des limites :
“J’ai longtemps gardé le silence pour protéger ton image et ta carrière, mais cela a assez duré.”
Elle avertit qu’elle ne compte pas rester inactive si la situation perdure :
“Ce n’est tout sauf une menace, juste une mère qui réclame ses droits.”
Une affaire qui soulève des questions sur la coparentalité
Ce message de Marcelle Kouamé a déjà suscité de nombreuses réactions sur les réseaux sociaux. Certains soutiennent son combat pour récupérer du temps avec son fils, tandis que d’autres appellent à la discrétion dans ce type de conflits familiaux.
Cette situation met en lumière les défis de la coparentalité dans des contextes complexes, où les tensions peuvent affecter l’équilibre et le bien-être des enfants.
Marcelle Kouamé conclut son message avec un espoir de changement pour l’année à venir. En attendant, son cri de mère éplorée reste un puissant rappel de l’importance des liens familiaux et de la responsabilité partagée dans l’éducation des enfants.
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