« Pas d’âme, pas de… » : Le rappeur ivoirien Himra refuse un milliard pour une collaboration et s’explique

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Himra, figure montante de la scène musicale ivoirienne, a récemment levé le voile sur sa vision unique des featurings lors d’une interview accordée entre deux concerts. Le rappeur, connu pour ses choix audacieux, place la barre très haut pour ses collaborations.

Une approche artistique avant tout

Pour Himra, la musique prime sur l’argent. « Même si tu me proposes un milliard, si ce que tu fais ne m’accroche pas, je ne ferai pas le feat », a-t-il affirmé avec fermeté. Selon lui, une collaboration ne peut voir le jour que si elle repose sur une authentique connexion musicale et une adéquation avec son univers artistique. « Les feats, c’est aussi ton image qui est en jeu », a-t-il ajouté, insistant sur l’importance de préserver son identité musicale.

Des featurings marquants

Malgré une rivalité affichée avec Didi B, Himra continue d’enchaîner les succès. Parmi ses collaborations les plus mémorables, on compte « Assaut » avec le Togolais Paki Chenzu, « Gater Nanina » en duo avec Suspect 95, et « Réussi » aux côtés de Vano Baby du Bénin. Ces morceaux, salués pour leur originalité et leur énergie, illustrent parfaitement ses standards élevés.

Une nouvelle ère musicale en vue

En pleine préparation en studio avec Safarel Obiang, figure emblématique du Couper-Décaler, Himra s’apprête à explorer de nouveaux horizons musicaux. Ce partenariat promet déjà de faire des vagues dans l’industrie musicale ivoirienne.

Le succès de son concert du 26 décembre 2024 au Parc des expositions, un moment marquant de sa carrière, témoigne de son ascension fulgurante. Avec des critères de collaboration aussi rigoureux, Himra s’impose comme un artiste visionnaire, prêt à redéfinir les standards du rap ivoirien.

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